Une réalisatrice a dit un jour à Frédéric : « j’aime ton œil ». Non pas qu’elle soit tombée amoureuse de son regard de velours, mais elle désignait par là cette vision qu’il porte sur les choses et sa manière de le rendre sur la pellicule. C’est pour cela aussi que j’ai grand plaisir de travailler avec lui.